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  • C'était hier : Défaite logique pour l'US Kercorb XV

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 17 novembre 2004.

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    L'équipe dirigeante saison 2004-2005, aux côtés du président Thomas Cuaresma

    Photos archives, Novembre 2004

    Le court déplacement qui emmenait les rugbymen chalabrois dans la banlieue de Pamiers s'est soldé par une courte défaite face aux Ariégeois de La Tour-du-Crieu, score final 6 à 0. Ce rendez-vous entre deux prétendants à la qualification directe n'aura pas tenu ses promesses, sur une pelouse tracée en bout de piste de l'aérodrome des Pujols et balayée par un fort vent glacial. Des conditions climatiques qui ne favoriseront pas le jeu fourni par deux quinzes engourdis et bien en peine pour faire la différence, la pause intervenant sur un score de parité, 0/0.

    Les troupes du duo Saint-Martin-Vitaux s'étaient pourtant procurées une occasion d'ouvrir la marque par l'intermédiaire de Thierry Parrenin, mais ce dernier aplatissait derrière la ligne de sortie de but des footballeurs. Une erreur pardonnable qui n'enlève rien au mérite de « Titou », lequel gardait, il y a peu, les cages du Football Club Chalabrois. La deuxième période verra les « Bleu et Blanc » du président Cuaresma hériter de cinq pénalités, sans succès. En dépit de plusieurs ballons subtilisés en touche et en mêlées, l'USK restera muette et impuissante, face à un quinze de La Tour qui inscrira les deux pénalités de la victoire.

    Le quinze chalabrois laisse ainsi passer un match à sa portée, de par ses maladresses et ses mauvais choix dans le jeu au pied, enregistrant pour le coup la première défaite de la saison. Prochain match au stade Lolo-Mazon, dimanche 21 novembre, face au RCN 88 (Entente L'Union-Castelmaurou), dernière rencontre à domicile avant le 9 janvier.

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    L'école de rugby disposée à assurer la relève 

  • C'était hier : Les rugbymen de l'USK ont manqué le train

    L'article en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du vendredi 29 octobre 1999.

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    29 à 14, nos rugbymen se sont inclinés face aux toulousains du TCMS

    Compte-rendu José Sanchez

    Photos archives, Mai 1999, 32e championnat de France US Kercorb contre Ponteilla, au Barcarès

    Pour ce déplacement en banlieue toulousaine, les gars du Kercorb comptaient bien faire un résultat face à cette équipe du Toulouse Cheminots Marengo Sports (TCMS), réputée assez joueuse. Au coup d'envoi donné par les « Rouge et Blanc » haut-garonnais, le jeu va se cantonner entre les deux lignes des 40 m. Le round d'observation va durer une dizaine de minutes avant que les visiteurs ne fassent leur première incursion dans les 22 m toulousains et ouvrent le score sur pénalité de Stéphane Baby (0-3). Les « Bleu et Blanc » mis en confiance attaquent à tout va. Une bonne sautée de Gérald Mourareau vers Patrick Rouzaud verra ce dernier stoppé à un mètre de la ligne adverse, les « Rouge et Blanc » parvenant à se dégager sur pénalité. Au quart d'heure de jeu, David Bonnéry s'échappera à grandes enjambées sur plus de cinquante mètres mais une erreur d'aiguillage le fera s'empaler sur le dernier défenseur. L'action rebondira sur Frédéric Lacanal qui oubliera malheureusement deux partenaires démarqués pour un essai imparable, l'USK se contentera des trois points de pénalité pour hors-jeu (0-6). La réaction rouge ne se fera pas attendre, suite à une accélération de leurs lignes arrières, les Toulousains permettront à leur troisième ligne d'inscrire un essai transformé (7-6). Sur l'action qui suivra le renvoi au centre, le trois-quart aile chalabrois Alain Rivals se blessera très sérieusement à la cheville, ce qui occasionnera l'interruption de la rencontre durant 35 minutes. Après la pause, les Chalabrois reprendront l'avantage après un drop enquillé par Gérald Mourareau (7-9). Joie de courte durée pour les supporters du Kercorb car trois minutes plus tard, un ballon tapé à suivre permet aux locaux de reprendre la tête sur essai (12-9).

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    Les Toulousains vont maintenir la pression et le talonneur local Jérôme Bernard, transfuge de l'USK, va faire des misères à ses anciens coéquipiers en « chipant » un ballon sur introduction adverse, pour un nouvel essai du TCMS (17-9). Qui repasse en dame sur un contre bien emmené (24-9), avant que l'USK ne réduise le score sur un beau renversement, Patrice Dassé dernier servi terminant sa course dans l'en-but toulousain (24-14). Le faux-frère rivélois va hélas récidiver en trouvant une touche à un mètre de la ligne bleue, qui amènera l'essai clôturant le score (29-14).

  • C'était hier : Enfin la victoire pour l'USK XV

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 21 octobre 1999.

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    La charnière chalabroise a initié de nombreux et beaux mouvements

    Photos archives, Octobre 1999, Compte-rendu autorisé

    Les protégés de Julien Bonnéry ont remporté non sans mal, leur première victoire dimanche dernier sur le stade Lolo-Mazon face à Aussonne, équipe venue de la Haute-Garonne. L'analyse de Frédéric Lacanal demi d'ouverture des Bleu et Blanc à la fin du match : « On a gagné mais on a mal joué », reflète bien les difficultés rencontrées par les gars du Kercorb. Mais comme le soulignait aussi un inconditionnel de l'équipe, « Seul compte le résultat ».

    Seulement 3 à 0 à la mi-temps pour les locaux grâce à une pénalité de Stéphane Baby, le planchot était resté bel et bien muet durant trente cinq minutes. L'absence de plusieurs éléments obligera le coach Roger Daynié à composer avec l'effectif présent, ce qui sans enlever à la valeur des joueurs, entraînera des changements de poste pas toujours profitables au rendement collectif de l'équipe. L'organisation du jeu va s'en ressentir, d'autant que le manque d'un vrai leader est flagrant. Trop de ballons joués rapidement sans que personne ne soit placé, trop de relances individuelles faisant dépenser de l'énergie inutilement. Il faut savoir poser le jeu, ne pas se disperser, occuper le camp adverse, soigner les conquêtes et assurer les passes.

    Une seule fois le scénario fut idéal : pénalité bottée en touche, bonne prise de balle de David Bonnéry, ballon envoyé rapidement vers les trois-quarts qui combinent, Frédéric Lacanal feinte la croisée, et Manu Izart efface trois adversaires pour aplatir derrière la ligne (8-0). Cinq minutes s'étaient à peine écoulées dans cette deuxième période et les supporters pensaient voir d'autres mouvements du même genre. Il n'en fut rien, et les Rouge et Noir d'Aussonne sentant cette équipe du Kercorb fébrile et désorganisée, à leur portée, vont un moment monopoliser le ballon, sans pour autant marquer. Manu Izart s'échappera deux fois sur 50 m, mais par manque de soutien les actions n'aboutiront pas et l'excellent arbitre M. Dedieu de St Girons (qui ne sera pas là tous les dimanches), sifflera la fin de la rencontre sur ce score de 8 à 0. Score acquis en seulement 10 minutes, 5 minutes avant la pause, et 5 minutes après la pause. Pour le reste, il y aura encore du travail, mais cette première victoire doit redonner confiance aux gars du Kercorb et un bon résultat, dimanche 24 octobre à Toulouse contre le leader Toulouse Cheminots Marengo Sport, devrait les rassurer entièrement.

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  • C'était hier : l'USK attend Colette avec impatience

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 18 avril 2004.

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    Colette sera bientôt et à nouveau aux petits soins pour le XV du Kercorb

    Photo archives, Avril 2001

    Les pensionnaires du club quinziste chalabrois étaient hier en région toulousaine, opposés aux réservistes de l'Union pour une qualification en championnat de 5e série Midi-Pyrénées. Un déplacement qu'ils ont effectué sans Colette Gracia, une de leurs plus fidèles supportrices, retenue sur son lit de convalescence après une délicate intervention chirurgicale. Véritable « mère poule » de l'USK, Colette fait partie intégrante du staff dirigeant le club emmené par le président Thomas Cuaresma. Cheville ouvrière du volet intendance, elle n'a pas son pareil pour réveiller les papilles de rugbymen en mal de calories au sortir d'une rude séance d'entraînement. Daubes et civets sont ainsi préparés dans la cuisine du club-house où chacun passe à table avec un flagrant plaisir.

    Talents culinaires qui se doublent d'une humeur toujours égale, et l'on comprend alors comment la compagnie de Colette est très appréciée de tous. Nos mordus de la balle ovale espèrent d'ailleurs la retrouver très bientôt à leurs côtés.